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EN SAVOIR PLUS SUR LE TABAC

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En savoir + : comprendre le fonctionnement du cerveau pour mieux le reconditionner

 

Le cerveau est remarquablement adaptable, et même après des années de tabagisme, il a une capacité impressionnante à se "reconditionner" et à récupérer.

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Comment le tabac affecte le cerveau

 

La nicotine, principal agent psychoactif du tabac, agit sur les récepteurs nicotiniques du cerveau. Cela entraîne la libération de dopamine, (neurotransmetteur associé au plaisir et à la récompense).
C'est ce mécanisme qui crée la dépendance.
Au fil du temps, le cerveau s'adapte à ces niveaux élevés de dopamine en réduisant le nombre de récepteurs ou leur sensibilité, ce qui pousse le fumeur à consommer davantage pour obtenir le même effet.

Autres effets néfastes sur le cerveau :

  • Altération des circuits de la récompense : Le cerveau s'habitue à la stimulation artificielle de la dopamine, ce qui rend la satisfaction sans nicotine plus difficile.

  • Vieillissement cérébral accéléré : Le tabagisme est associé à une réduction des capacités de mémoire et de concentration.

  • Impact sur l'humeur et le stress : Bien que le tabac puisse procurer un soulagement temporaire, il augmente le stress et l'irritabilité à long terme.

  • Problèmes de sommeil : La nicotine est un stimulant qui peut perturber le sommeil.

 

Processus de récupération du cerveau après l'arrêt du tabac

 

Heureusement, le cerveau commence à se régénérer très rapidement après l'arrêt du tabac :

  • Dès 1 à 3 jours : Les neurones commencent à "nettoyer" les récepteurs nicotiniques, qui entament leur processus de désensibilisation. Le système nerveux parasympathique reprend progressivement le contrôle.

  • Semaines 1 à 2 : La "renaissance neuronale" s'accélère, avec la formation de nouvelles connexions synaptiques et une amélioration de la circulation sanguine cérébrale.

  • Mois 1 à 3 : La reconstruction s'intensifie. Le cerveau rééquilibre ses circuits émotionnels, et de nombreux ex-fumeurs rapportent moins de stress et d'anxiété.

  • À plus long terme : Les fonctions cognitives (mémoire, concentration, attention) s'améliorent progressivement grâce à la neuroplasticité.
     

Comment reconditionner votre cerveau après l'arrêt du tabac

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1. Arrêter de fumer (le plus important !) C'est la première et la plus cruciale étape. Le cerveau ne peut commencer à se réparer que lorsque la nicotine n'est plus présente.

2. Gérer le sevrage et les envies :

  • Substituts nicotiniques, médicaments sur ordonnance, techniques de distraction, aide d’un thérapeute.
     

3. Adopter un mode de vie sain pour soutenir le cerveau :

  • Activité physique régulière : L'exercice physique est un puissant allié. Il aide à gérer le stress, améliore l'humeur en libérant des endorphines, et favorise la santé cérébrale générale.

  • Alimentation équilibrée : Privilégiez une alimentation riche en fruits, légumes, grains entiers et acides gras oméga-3 (poissons gras, noix, graines de lin). Ces nutriments sont essentiels pour la santé du cerveau.

  • Sommeil de qualité : Établissez une routine de sommeil régulière. Évitez les stimulants (caféine, écrans) avant le coucher. Un bon sommeil est crucial pour la réparation et la régénération cérébrale.

  • Hydratation : Buvez suffisamment d'eau tout au long de la journée.

4. Stimuler et entraîner votre cerveau :

  • Activités cognitives : Continuez à stimuler votre cerveau par des lectures, des jeux de logique (mots croisés, sudoku), l'apprentissage de nouvelles compétences (langue, instrument de musique).

  • Socialisation : Maintenez des interactions sociales régulières. Les liens sociaux sont bénéfiques pour la santé mentale et cognitive.

5. Gérer le stress et les émotions :

  • Techniques de relaxation : La méditation, la pleine conscience, le yoga, les exercices de respiration profonde peuvent aider à réduire le stress et l'anxiété, souvent accrus pendant le sevrage.

  • Soutien psychologique : Un accompagnement par un professionnel (thérapeute, coach en sevrage tabagique) est recommandé par la Haute Autorité de la Santé pour gérer les aspects psychologiques de la dépendance et les émotions liées à l'arrêt. « Les approches comme la thérapie comportementale et cognitive (TCC) sont efficaces. »

  • Médecines complémentaires : Comme l’hypnose, la PNL, la DNR , la Réflexologie, ou le neurofeedback permettent de moduler les réponses du cerveau et à favoriser un état émotionnel stable.

6. Patience et bienveillance envers soi-même : La récupération du cerveau est un processus progressif. Il est important d'être patient et de ne pas se décourager en cas de difficultés ou de rechute. Chaque jour sans tabac est une victoire, et la résilience du cerveau est remarquable.

En résumé, reconditionner un cerveau conditionné par le tabac implique avant tout un arrêt total du tabagisme, puis l'adoption d'un mode de vie sain et le recours à des stratégies de soutien pour aider le cerveau à retrouver son équilibre et ses capacités optimales.

 

 

En savoir + : l'accompagnement professionnel, un facteur clé de succès

 

Dixit la Haute Autorité de Santé :
"SANS ACCOMPAGNEMENT, 97% DES FUMEURS N'ARRIVENT PAS À ARRÊTER." L'aide d'un professionnel de santé est un facteur déterminant. Les méthodes alternatives telles que l'acupuncture, l'hypnothérapie, la DNR ou la PNL ne doivent pas être découragées si le fumeur les juge utiles.

Pourquoi se faire accompagner ?

  • Trouver la méthode adaptée : Un professionnel vous aide à définir la meilleure stratégie d'arrêt, rendant le processus plus confortable.

  • Renforcer votre motivation : Le thérapeute est un soutien précieux, vous aidant à dépasser vos peurs, à changer vos habitudes et à consolider votre motivation. La motivation, ça se travaille !

 

L'espace thérapeutique est un lieu de confidentialité et de non-jugement. La confiance est la clé de votre engagement.

Comme le disait Carl Gustav Jung : "Tu n'y verras clair qu'en regardant en toi. Qui regarde l'extérieur, rêve. Qui regarde en lui-même, s'éveille."

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En savoir+ : La double facette de la dépendance au tabac : Psychologique et Physiologique

 

Arrêter de fumer est un défi complexe car la cigarette crée une double dépendance : l'une est d'ordre physique, liée à la nicotine, l'autre est profondément ancrée dans nos habitudes, nos émotions et nos schémas de pensée.

 

La dépendance physiologique : Le rôle de la nicotine

 

La dépendance physiologique est la plus connue. Elle est directement liée à la nicotine, une substance psychoactive extrêmement addictive présente dans le tabac.
 

  • Le circuit de la récompense : Quand vous fumez, la nicotine atteint votre cerveau en quelques secondes. Elle se fixe à des récepteurs spécifiques et déclenche la libération de neurotransmetteurs, notamment la dopamine. La dopamine est un acteur clé du "circuit de la récompense" dans le cerveau, produisant des sensations de plaisir, d'euphorie, d'alerte et de concentration.
     

  • La tolérance et le besoin : Avec le temps, le cerveau s'adapte à la présence constante de nicotine. Il développe une tolérance, ce qui signifie qu'il faut fumer davantage pour obtenir le même effet. Parallèlement, le cerveau devient dépendant : sans nicotine, les niveaux de dopamine chutent, déclenchant des symptômes de manque.
     

  • Les symptômes de sevrage physique : Ce sont ces symptômes qui rendent l'arrêt si difficile physiquement. Ils apparaissent quelques heures après la dernière cigarette et peuvent inclure :

    • Envies intenses (cravings) : Une pulsion irrépressible de fumer.

    • Irritabilité, frustration, colère : Des sautes d'humeur prononcées.

    • Anxiété, nervosité : Un sentiment général de malaise.

    • Troubles du sommeil : Insomnie ou réveils nocturnes.

    • Difficultés de concentration : Diminution des capacités cognitives.

    • Augmentation de l'appétit : Le corps cherche à compenser le manque.

    • Moins fréquemment : maux de tête, nausées, toux, maux de gorge.
       

Ces symptômes sont souvent les plus intenses durant les 2 à 4 premières semaines après l'arrêt, le pic étant atteint au 2ème ou 3ème jour. Cependant, ils s'estompent progressivement à mesure que le corps se désintoxique.
Des substituts nicotiniques, ou certains médicaments aident aussi à atténuer les symptômes de manque physique.

 

La dépendance psychologique : Les habitudes et les émotions

 

La dépendance psychologique est souvent plus insidieuse et peut persister bien au-delà de la phase de sevrage physique de la nicotine. Elle est liée aux croyances, aux habitudes, aux émotions et aux associations que vous avez développées autour de la cigarette.
 

  • Les déclencheurs (triggers) : Le cerveau a créé des liens puissants entre l'acte de fumer et certaines situations, émotions ou activités. Ce sont les "déclencheurs" :

    • Habitudes quotidiennes : Le café du matin, la pause au travail, après un repas, en conduisant.

    • Gestion des émotions : Fumer pour gérer le stress, l'ennui, la tristesse, la colère, ou pour célébrer un moment de joie. La cigarette devient une "béquille" émotionnelle.

    • Contextes sociaux : Fumer en soirée, avec des amis fumeurs, lors d'une discussion téléphonique.

    • Gestuelle et rituel : Le simple fait de tenir la cigarette, de l'allumer, d'inhaler et d'expirer la fumée fait partie d'un rituel réconfortant pour le fumeur.
       

  • Les bénéfices perçus : Même si vous savez que fumer est nocif, votre inconscient a pu associer la cigarette à des "bénéfices" illusoires, comme :

    • Un moyen de se détendre ou de réduire le stress (alors que la nicotine est un stimulant).

    • Un stimulant pour la concentration.

    • Un plaisir, un moment pour soi.

    • Un outil social.
       

  • La peur du manque psychologique : Au-delà du manque physique de nicotine, il y a la peur de ce vide, de ne plus savoir comment gérer certaines situations ou émotions sans la cigarette.
    "Comment vais-je me détendre après une journée difficile sans ma clope ?"

 

  • La dépendance psychologique nécessite un travail sur les pensées, les émotions et les comportements. C'est là que des approches comme l'hypnose, la DNR et la PNL sont particulièrement efficaces pour :

    • Déconstruire les associations négatives et les "bénéfices" illusoires liés au tabac.

    • Renforcer la motivation intrinsèque à être non-fumeur.

    • Développer de nouvelles stratégies saines pour gérer le stress et les émotions.

    • Reprogrammer le cerveau pour qu'il ne réagisse plus automatiquement aux déclencheurs.
       

En savoir + : Les bienfaits de l'arrêt du tabac : Votre corps vous remercie

 

Dès la dernière cigarette, votre corps entame un processus de guérison remarquable.

  • 20 minutes après : Votre pression artérielle se normalise.

  • 8 à 48 heures après : L'oxygénation de vos cellules redevient normale.

  • 4 jours après : La nicotine est totalement purgée de votre sang. Vous respirez plus facilement, plus profondément, et votre corps est mieux oxygéné.

  • Une semaine après : Vous retrouvez pleinement le goût et l'odorat.

  • 3 à 9 mois après : Vos poumons retrouvent une activité normale, les bronches se nettoient, la toux diminue et le souffle revient. Le stress lié à la peur du manque de cigarette se dissipe.

  • Un an après : Le risque d'infarctus du myocarde diminue de moitié.

  • 5 ans après : Les risques d'accident vasculaire cérébral et de cancers (bouche, œsophage, vessie, poumon) sont réduits de moitié.

  • 10 à 15 ans après : Le risque de cancer du poumon est diminué de moitié après 10 ans. À partir de 15 ans, vous avez les mêmes risques que toute personne n'ayant jamais fumé.

  • Après 15 ans : Votre espérance de vie se confond avec celle des non-fumeurs. Vous avez autant de chances de faire un arrêt cardiaque qu'une personne n'ayant jamais fumé.

Votre espérance de vie se confond avec celle des personnes n'ayant jamais fumé.


En savoir + : Idées reçues sur la cigarette : Démêler le vrai du faux
 

  • "Il n'existe pas de seuil sans risque" : Même une faible consommation augmente le taux de mortalité.

  • "Fumer est plus difficile à arrêter que l'alcool ou d'autres drogues" : La dépendance à la nicotine est en effet l'une des plus fortes (Source : Haute Autorité de Santé).

  • "Fumer est relaxant" : C'est une illusion ! La nicotine est un stimulant qui augmente votre pression artérielle et votre rythme cardiaque.

  • "Fumer ne fait de mal qu'à soi-même" : Le tabagisme passif expose votre entourage à des substances toxiques, augmentant leurs risques de problèmes de santé.

  • "Quelques cigarettes par jour sont inoffensives" : Toute exposition aux toxines du tabac est nocive et augmente les risques de maladies cardiovasculaires, de cancers et de problèmes respiratoires.

  • "Arrêter de fumer fait prendre du poids" : Si certains compensent en grignotant, des stratégies saines existent pour gérer ces nouvelles envies.

  • "Vapoter est une alternative sûre" : Les recherches sur les effets à long terme de la cigarette électronique sont en cours, et des études suggèrent des conséquences néfastes. La Haute Autorité de Santé ne la recommande pas comme outil de sevrage, mais ne décourage pas son utilisation si un fumeur l'a déjà adoptée pour arrêter.

  • "Il est trop tard pour arrêter" : Faux ! Les bienfaits pour la santé commencent dès les premières heures suivant l'arrêt, même après des années de tabagisme.

  • "Le tabac biologique est moins dangereux" : Bien qu'il contienne moins d'additifs, il contient toujours de la nicotine et des toxines dangereuses.

  • "Les cigarettes légères sont moins nocives" : Leur faible teneur en goudron ne les rend pas inoffensives. Les niveaux élevés de nicotine restent addictifs et dangereux.

  • "Fumer n'affecte que les poumons" : La fumée de cigarette affecte presque tous les organes du corps, augmentant les risques de maladies cardiaques, d'accidents vasculaires cérébraux, de divers cancers et de problèmes de peau.
     

Et vos propres freins ?
 

  • "J'aime fumer" : Est-ce vraiment le goût que vous aimez, ou la dépendance à la nicotine ? Rappelez-vous vos premières grimaces !

  • "Je n'ai pas la volonté d'arrêter" : Le fait même que vous lisiez cet article prouve le contraire ! Votre présence ici est une preuve de votre motivation.

  • "Si je ne réussis pas, je serai ridicule" : Ridicule aux yeux de qui ? Pourquoi tant d'exigences envers vous-même ? Chaque tentative est une victoire, pas un échec.

  • "J'ai peur de la sensation de manque" : Le sevrage de la nicotine provoque des effets secondaires, c'est vrai. C'est pourquoi un accompagnement personnalisé, ou l'aide d'un professionnel utilisant l'hypnose, la DNR et la PNL, peut vous aider à trouver votre propre rythme et vos propres solutions.
     

L'impact sur la santé des femmes et des couples :
 

  • Pilule et tabac : La combinaison augmente considérablement le risque de thrombose artérielle (infarctus, AVC), surtout en présence d'autres facteurs de risque (hypertension, diabète, cholestérol).

  • Fertilité : Le tabagisme réduit la fertilité masculine et féminine, diminue les chances de succès en assistance médicale à la procréation et allonge le délai de conception.

  • Grossesse : Fumer pendant la grossesse affecte gravement son déroulement et le développement fœtal, avec des conséquences à long terme pour l'enfant.

Cette liste n'est pas exhaustive, mais elle doit vous faire relativiser et envisager le tabac sous un autre angle.

 

 

En savoir + :  Le sevrage, comment ça se passe en général :


La dépendance physique

  • Quelques minutes/heures : Dès les 20 premières minutes après la dernière cigarette, la pression sanguine et le rythme cardiaque commencent à revenir à la normale. En quelques heures (environ 8 heures), le taux de monoxyde de carbone dans le sang diminue de moitié.

  • 24 à 72 heures (1 à 3 jours) : C'est le pic des symptômes de sevrage physique. La nicotine est quasiment entièrement éliminée du corps en 24 à 72 heures. C'est souvent la période la plus difficile. Le goût et l'odorat commencent à s'améliorer après 48 heures.

    Les symptômes : irritabilité, anxiété, difficulté à se concentrer, troubles du sommeil, fatigue, maux de tête, vertiges, envies intenses de fumer, sensations d’oppressions.

  • 2 à 4 semaines : Les symptômes physiques de sevrage diminuent progressivement en intensité et en fréquence. Pour la plupart des fumeurs, la dépendance physique est largement atténuée, voire disparue, après 3 semaines à 1 mois.

    Les symptômes qui peuvent durer jusqu’à 4 semaines : Toux, humeur dépressive, concentration, insomnies, faim, irritabilité, maux de tête, constipation.  
     

La Dépendance Psychologique et Comportementale

C'est la partie la plus longue du sevrage, et celle qui nécessite le plus de travail sur soi. Elle est liée aux habitudes, aux rituels et aux associations mentales avec la cigarette.

  • Quelques mois (3 à 6 mois et plus) : C'est la période où l'on doit réapprendre à vivre sans cigarette dans toutes les situations (stress, joie, café, après un repas, etc.). Les "envies" peuvent encore survenir, mais elles sont moins intenses et moins fréquentes. C'est là que les outils comme la PNL ou l'hypnose peuvent être très efficaces pour reprogrammer les schémas mentaux associés au tabac.

  • 1 an et au-delà : Même après plusieurs mois, le risque de rechute existe, surtout lors d'événements marquants ou de périodes de stress intense. Le processus de "désaccoutumance" psychologique peut prendre plusieurs années pour être totalement intégré, au point que l'idée même de fumer ne vienne plus à l'esprit. Cependant, la vigilance reste de mise, et l'on parle souvent d'être un "ancien fumeur" à vie.

 

Ce qu’il faut retenir :

  • Les bénéfices sont très rapides : Votre corps commence à guérir dès les premières minutes et heures sans tabac.

  • Le pic physique est court : Les 3 premiers jours sont souvent les plus difficiles physiquement.

  • La durée varie : Il n'y a pas de durée unique pour tous. La dépendance physique est surmontée assez rapidement, mais la dépendance psychologique et comportementale demande un travail de plus longue haleine.

  • L'accompagnement est crucial : La volonté seule ne suffit que dans 5% des cas. L'aide d'un professionnel (tabacologue, hypnothérapeute, spécialiste en PNL, etc.) et/ou des substituts nicotiniques multiplient les chances de succès.

Il est important de célébrer chaque étape de progrès et de ne pas se décourager en cas de difficultés ou de rechute, car cela fait partie du processus pour de nombreux ex fumeurs.

 

En savoir + : Le tabagisme en chiffres, une réalité qui interpelle

Le tabac est une addiction tenace, et les chiffres le prouvent :

  • 29% des Français fument, soit 12 millions de consommateurs quotidiens.

  • 97% des fumeurs n'arrivent pas à arrêter sans aide (Source : Haute Autorité de Santé).

Les données du Baromètre de Santé publique France 2021 révèlent que parmi les fumeurs quotidiens :

  • 59,3% souhaitent arrêter de fumer.

  • 26,4% envisagent d'arrêter dans les 6 prochains mois.

  • 30,3% ont fait une tentative d'arrêt d'au moins une semaine au cours des 12 derniers mois.

Avant la crise du COVID, 70% des fumeurs français étaient favorables à l'idée d'arrêter. 30% avaient tenté un sevrage, mais seulement 4% sont allés au bout du processus (Source : STOP TABAC).

Le "Mois sans tabac", lancé en 2016, a déjà réuni 900 000 participants. Selon Santé publique France, "l'aide d'un professionnel de santé augmente de 70% les chances de réussir son sevrage". C'est pourquoi un accompagnement est vivement recommandé pour soutenir les personnes désireuses d'arrêter.

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